Je connais le magazine économique de la chambre de commerce et d’industrie de Savoie pour l’avoir feuilleter ou lu en diagonale dans différents lieux où j’avais un rendez-vous en rapport avec l’entreprise. Mais c’est la première que je « Partenaires Savoie » à domicile, il s’agit du numéro d’octobre 2010. Je n’ai pas été emballée par la couverture et son accroche « L’Avenir, Miroir de l’entreprise. »
A lire certaines annonces ou certains articles, il y’a vraiment de quoi se poser des questions. Le télémarketing est un vaste domaine et les activités vues de l’extérieur semblent parfois identiques, j’ai pu le vérifier aussi sur le terrain avec deux clients avec lesquels je travaille en ce moment.
En quoi consiste l’activité d’un télé-enquêteur ?
Son rôle est de réaliser une enquête économique, politique, sociale, qualité, marketing… Tous les sujets peuvent être abordés dans les enquêtes.
Enfin de retour !
Après quelques jours de formations aux produits/services à Grenoble au sein du cabinet avec lequel j’ai l’intention de faire mes armes de téléprospectrice à domicile en auto-entrepreneur (et eux aussi par la même occasion apparemment), je suis très enthousiaste, malgré quelques réserves contractuelles, mais attendant de voir les fichiers et les documents.
I was really delighted by an article I have read on the july UK Glamour magazine about the etiquette in the differents areas of life from Diner’s, to birthday, telephone call, e-mails contacts or internet, the treatrement was deliciously ironic but so comforting for me.
Au fil du travail, les choses se bousculent et se précisent pas forcément comme je l’imaginais, mais la bonne nouvelle vient de l’administration. Oui, après le numéro Siren qui a pris son temps pour me parvenir, sic… Je n’ai plus de sueurs froides, je bénéficie de l’Accre. Ouf !
Du 12 au 14 octobre 2010 au palais des Congrès, à Paris, se tient le 12e salon des micro-entreprises. Le salon accueille, pour la première fois cette année, le carrefour des auto-entrepreneurs, entièrement dédié à la réussite et au développement de l’auto-entreprise.
Entre le moment où j’ai commencé à réfléchir à la possibilité de créer une entreprise et le moment où j’ai demandé mon immatriculation, il s’est écoulé un « certain temps ». Au départ en 2008, j’étais partie sur une tout autre idée qui dépendait de la chambre des métiers, si bien que j’ai passé le stage obligatoire organisé par ladite chambre et destinée aux futurs artisans. N’ayant pas été convaincue par ce stage, j’ai envisagé tour à tour la couveuse d’entreprise et le portage salarial qui tous deux répondaient à la problématique de l’essai de l’activité « in situ » sans les inconvénients de la création d’une structure propre. Là non plus, je n’ai pas trouvé mon bonheur.