En plus des opérations de télémarketing, j’ai également travaillé en qualité de webwriter ou rédacteur web. Dans ce cadre, j’ai touché à tout et c’est ce que je trouve passionnant. Je sais à la fois gérer, animer, modérer sur des blogs ou des forums.
C’est émouvant d’écrire le premier article de 2011 du blog d’une téléprospectrice à domicile, le programme de l’année est déjà tracée pour My telepro-partner, travailler, travailler et se faire plaisir en travaillant. Alors j’espère terminer rapidement le site internet, pour le promouvoir et du même coup, faire connaître mon activité et le blog.
C’est dans le magazine « Partenaires Savoie » que j’ai eu connaissance de l’information en octobre et çà y’est nous y sommes. Demain 3 décembre se tiendra au Château de Combes de Challes-les-eaux la soirée corporate qui invite les entrepreneurs savoyards à assister à une conférence animée par Alain Bosetti sur le thème « Entrepreneurs, développer votre réseau relationnel ».
Enfin de retour !
Après quelques jours de formations aux produits/services à Grenoble au sein du cabinet avec lequel j’ai l’intention de faire mes armes de téléprospectrice à domicile en auto-entrepreneur (et eux aussi par la même occasion apparemment), je suis très enthousiaste, malgré quelques réserves contractuelles, mais attendant de voir les fichiers et les documents.
Au fil du travail, les choses se bousculent et se précisent pas forcément comme je l’imaginais, mais la bonne nouvelle vient de l’administration. Oui, après le numéro Siren qui a pris son temps pour me parvenir, sic… Je n’ai plus de sueurs froides, je bénéficie de l’Accre. Ouf !
Du 12 au 14 octobre 2010 au palais des Congrès, à Paris, se tient le 12e salon des micro-entreprises. Le salon accueille, pour la première fois cette année, le carrefour des auto-entrepreneurs, entièrement dédié à la réussite et au développement de l’auto-entreprise.
Entre le moment où j’ai commencé à réfléchir à la possibilité de créer une entreprise et le moment où j’ai demandé mon immatriculation, il s’est écoulé un « certain temps ». Au départ en 2008, j’étais partie sur une tout autre idée qui dépendait de la chambre des métiers, si bien que j’ai passé le stage obligatoire organisé par ladite chambre et destinée aux futurs artisans. N’ayant pas été convaincue par ce stage, j’ai envisagé tour à tour la couveuse d’entreprise et le portage salarial qui tous deux répondaient à la problématique de l’essai de l’activité « in situ » sans les inconvénients de la création d’une structure propre. Là non plus, je n’ai pas trouvé mon bonheur.