Après avoir envisagé de tester mon activité en couveuse, via le portage salarial, j’ai finalement opté pour le statut d’auto-entrepreneur parce qu’après comparaison, c’est le régime qui parait le mieux adapté à ma situation actuelle et qui me permet une projection à moyen terme. D’après le plan que j’ai fais, je devrais pouvoir développer progressivement ma clientèle en alternant mission longue et mission ponctuelle sans avoir à faire face de suite à tout un tas de dépenses et de charges inhérentes à la création que j’ai jugé excessives.
Auteur/autrice : Grace bailhache
Qu’est-ce que le portage salarial ?
Dans le sujet relatif à l’accompagnement, j’ai parlé du fait que j’avais envisagé un moment le portage salarial, notamment parce qu’il s’agissait alors de travailler pour une entreprise Suisse via un cabinet de portage de Savoie. Le portage salarial est un mode d’organisation qui permet à un porteur de projet de développer son activité comme salarié d’une entreprise organisée pour gérer l’autonomie des professionnels qui la rejoignent.
J’ai enfin mon numéro siren
Pour certains la procédure a été très rapide comme j’ai pu le lire sur le net ici et là. Pour d’autres, cela a été aussi long et tortueux que pour moi. Pour un dossier déposé à l’Urssaf début juin, je n’ai eu un premier retour qu’à la mi juillet et je vous le donne en mille de la chambre de commerce et d’industrie dont je suis censée dépendre.
Qu’est-ce qu’une couveuse ?
Dans l’article sur l’accompagnement à la création d’entreprise j’ai évoqué le fait d’avoir envisager l’option de la couveuse qui permet à un porteur de projet d’apprendre à entreprendre dans un cadre légal mais sous l’aile protectrice d’un organisme, un peu comme le poussin apprend l’autonomie sous la couveuse de sa mère. C’est ainsi que, le porteur de projet devient un « entrepreneur à l’essai ».
Mon bilan de septembre : changement à l’ordre du jour
Les conseilleurs ne sont pas les payeurs et j’en ai eu la preuve en ce mois de septembre 2010. Pendant toute la période ou j’attendais les documents spécifiant que j’étais enregistrée comme auto-entrepreneur, je prospectais ici et là pour prendre la température et voir ce que proposait les prescripteurs qui recherchaient des téléprospecteurs à domicile indépendant. Et j’ai entendu mille fois la phrase « mais tu peux commencer sans numéro siren » et quand j’ai enfin reçu ce document après trois mois d’imbroglio, j’ai entendu de quelques nouvelles auto entrepreneuses croisées sur des forums « accepte quand même telle mission, sinon quelqu’un d’autre la prendra et tu ne feras de chiffres ». Tout cela ne me convenait pas du tout, mais alors du tout.
Le club de l’économie en septembre 2010
Le club de l’économie est de retour et j’en ai suivi un en septembre. L’émission a un nouveau présentateur en la personne de François-Xavier Pietri, elle est désormais diffusée sur TF1 le dimanche soir aux environs d’1h20. Ce qui reste vrai c’est que chaque semaine, avec François-Xavier Pietri, les invités économistes, universitaires et, ou chefs d’entreprises débattent sur les grandes questions économiques.
Conseils d’administration : les femmes enfin au pouvoir ?
Je ne suis pas branchée Marie-Claire à la base et sans cet article sur les médecines tibétaines pour lequel j’ai acheté cet exemplaire de septembre à la base, je serais passée à côté de ce mini dossier d’enquête sur les femmes dans les conseils d’administrations qui ne figure même pas sur les titres de la couverture. En même temps, lorsque j’y réfléchis, je comprends pourquoi ! Enfin, je dis bravo à Marie-Claire , j’ai donc eu deux super dossiers pour le prix d’un, un genre de kinder surprise en somme.