Incroyable quand j’y pense, de me souvenir que cette aventure a commencé sur ce blog le 31 juillet 2014 avec 7 c’est mieux hommage impulsif, j’ignorais alors qu’il marquerait les débuts de la contribution digitale à la J.I.F.A. Si Aoua Keita, figure du mouvement indépendantiste, du syndicalisme, du féminisme au Mali et initiatrice de la Journée internationale de la Femme Africaine (J.I.F.A) en 1962 demeure une muse importante, pour le reste, chaque édition depuis 2014 a toujours apportée son lot de nouveauté.
Comme l’année dernière, une invitation vidéo a été lancée. Pour l’édition 201, j’ai tenté la vidéo sur Facebook puisque c’est notre réseau social principal, le plus actif, le plus réceptif et le plus fréquenté.
Voilà une aventure qui m’a beaucoup appris humainement. Par ailleurs, le fait de ne pas savoir d’une année à une autre, si elle se tiendrait en a limitée les potentialités certes mais dans le même temps, cela m’a obligé à sortir de ma rigidité planificatrice, à faire preuve de flexibilité, de tolérance sans parler des nouveaux outils et des femmes inspirantes que j’aurais pas rencontré sans cette contribution.
Pour en savoir plus -> J.I.F.A