Journée internationale de la femme africaine à 7 c’est mieux !

grace bailhache journee international femme africaineAllez ! Au diable la modestie ! C’est le dernier jour de juillet alors rendons à César ce qui appartient à mes 6 reines du jour. Merci de votre fidélité chers lecteurs, je ris encore des quelques mails impatients que j’ai reçu depuis ce matin, certains avaient comme une pointe de menace…SouRIRES ! Chose promise, article dû…Je pourrais écrire une nouvelle sur ma soudaine impulsion « collaborative » autour de ma découverte de la journée de la femme africaine. Petit rappel historique, et je vous prie de vous accrochez chers lecteurs, cette journée à été créée en 1962, à l’initiative de la militante féministe, Aoua Keita. Vraisemblablement depuis la promulgation de la Journée internationale de la Femme africaine comme étant le 31 juillet à la fois par les Nations unies et l’Organisation de l’Unité africaine, cette journée n’a pas crée d’émules.

grace bailhache journee femme africaineMais cela va changer ! Je l’espère, je le crois et vraisemblablement je ne suis pas la seule. Aujourd’hui, je sais que je vais faire des heureux  parmi les lecteurs du blog. Oui, vous,« messieurs » les censeurs qui jaugez les blogs à l’aulne de vos lectures de quotidiens de haut vol, ce qui est un tort à mon sens, mais moi, je dis çà, je ne dis rien. SMILES ! Donc messieurs les censeurs disais-je, aujourd’hui, je vous propose « la crème de la crème »; de véritables reines africaines des temps modernes, réactives, efficaces et solidaires. En un mot comme en cent, j’ai touché le jackpot et je vous l’offre comme çà « sans augmentation du prix des consommations ». SouRIRES !

Trêve de sourires. Comme bref rappel de la chronologie de l’aventure journée du 31 juillet, j’ai donc contacté ces dames lundi en leur demandant leurs collaborations dans un interminable mail, même pas relu. SIC ! Fort heureusement, j’ai eu de rapides réactions, et , s’en suivirent de nombreux échanges et je vous passe les mésaventures avec ma « titine » qui ayant été bien trop sollicitée ce mois de juillet m’a fait sa mauvaise tête, mais fort heureusement le disque dur externe était là. OUF ! Tout est en boite !

journee international femme-africaine aoua keita awa J’envoie une myriade de fleurs de gratitude à mes six reines africaines du jour : Chantal Epée, Liss Kihindou, Marthe-Ghislaine Dayas-Eyoum, Nadia Origo, Caroline Kiminou et Tening Agnès Diouf . Mais d’où vient le chiffre 7 alors ? Qui est la septième reine ? Certains auront naturellement pensés à » ma pomme Grace Bailhache  » ? Eh bien non ! Soyez rassurés chers lecteurs, « mes chevilles » ont gardé la même taille,  je n’ai guère eu l’outrecuidance de me mettre une couronne aux côtés de mes consœurs.  Ma septième reine n’est autre qu’Aoua Keita initiatrice de la journée internationale de la femme africaine. Ne pouvant inventer ses réponses à mes questions, j’ai glissé les miennes dans la vidéo pour rester fidèle au chiffre 7. Et c’est enfin,  sous son regard bienveillant que je vous présente :

Chantal Epée une reine du Cameroun qui en plus d’être un autre prolixe sur la toile, et une promotrice culturelle très active. A son palmarès, la création et la direction du Cœur à Cœur Acoustique, la présidence d’Afrodiaspor’Arts –Expressions of Black Cultures et la création des promenades littéraires d’Afrodiaspor’Arts. Une visite à son site personnel est indispensable pour y lire ses petites merveilles.

Liss Kihindou écrivain et critique littéraire est ma première reine du Congo-Brazzaville. Vous trouverez son recueil de nouvelles « Folies et détonations » et son essai « Expression du métissage dans la littérature africaine » sur le site des éditions l’Harmattan. Elle a également publié un roman Chêne de bambou aux éditions Anibwé. Les amateurs de chroniques littéraires pourront la lire sur ses deux blogs, l’ancien blog Liss dans la vallée, pour les archives et le nouveau Valets des livres.

Marthe-Ghislaine Dayas-Eyoum une autre reine du Cameroun qui jongle allégrement entre sa casquette de RP et celle de web rédactrice allant d’une plateforme à l’autre au gré des chroniques requises. Les gourmands et gourmets apprécieront la diversité de ses propositions culinaires, mention « on en redemande » à sa rubrique interview en cuisine du blog douceurs-maison qui m’a permis de faire de bien jolies découvertes.

Nadia Origo éditrice et éditorialiste, Directrice de la société Origraphcom est ma reine du Gabon. A l’instar de toutes les autres majestés de mon panel, cette souveraine fait également de la communication événementielle. C’est dans ce cadre que j’ai découvert son nom via Gabon, Terre de talents. Comme éditrice et auteur vous pouvez la retrouver sur le site Ladoxa la rubriques nos livres vous vous laisserez peut être tenter par Le bal des débutants ou Le voyage d’Aurore.

Caroline Kiminou l’illustratrice au grand cœur est une autre reine du Congo-Brazzaville. La plupart d’entre vous connaissent déjà son coup de crayon. Et pour ceux qui prennent le train en marche, Kiminou est une croqueuse, avec une préférence pour les portraits, les visages, dernièrement elle s’est remise au Nu artistique. Vous trouverez ses creations (cartes et marques pages) ainsi que tout son univers picturale sur son site la planète de Kiminou.

Tening Agnès Diouf youttubeuse lifestyle, benjamine du groupe est ma reine du Sénégal. La demoiselle au fort potentiel d’entrepreneuse s’est contentée d’une présentation aussi épaisse qu’un sandwich SNCF, alors qu’elle est en vérité une « sérial » créatrice sur la toile. Ses blogs sont tous très différents et Agnès Diouf est à l’origine du RAD les rencontres Afro de Dakar. Cependant,  c’est désormais sur sa chaine You tube Agnes en ligne que la jeune fille déploie ses ailes.

Chers lecteurs, je vous propose un jeu sympathique, avant de regarder la vidéo, regardez l’image avec les 6 reines du jour, lisez la présentation que je vous propose, puis notez sur un papier, le prénom qui d’après vous correspond à la photo. Partant toujours de gauche à droite,  la première ligne va de 1 à 3, la seconde de 4 à 6 avec comme 4 la dame aux lunettes dans les cheveux. Inutile de tricher ! Il n’y a rien à gagner sinon le plaisir d’échanger nos impressions. SouRIRES !

Voilà mesdames, messieurs, chers lecteurs fidèles, vous avez de la lecture, des liens donc de quoi tenir jusqu’à lundi, et puisqu’il n’y a pas de raison de se priver, je prolongerais et clôturerais mon week-end dédiée à la journée de la femme africaine dimanche 3 août sur ma page Facebook pour ceux qui me suivent là bas.

Bon week-end à tous,  je modère et réponds lentement en ce moment mais promis vous aurez vos réponses avant lundi ! J’ai hâte d’avoir vos impressions sur tout, la journée internationale, Aoua Keita, les reines et leurs univers.

108 commentaires sur “Journée internationale de la femme africaine à 7 c’est mieux !

  1. De rien, j’aime lire ton blog depuis cet article, j’aime que tu réponds aux commentaires. Je n’ai pas compris « repertoire spécial debriefing » çà veut dire quoi ?

    1. Aie…Merci de me reprendre lorsque je verse un peu trop dans le technique. Eh bien, après la collaboration, mon débriefing a consisté à reprendre contact avec les reines que j’avais choisi, leur poser des questions sur le déroulement de notre collaboration. L’objectif de mon débriefing est tout simplement de valider les bonnes choses et de prendre en compte les points négatifs ou moins bons afin de les corriger la fois suivante. Voilà, j’espère avoir éclairer ta lanterne.

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