Si vous êtes un fidèle vous m’avez déjà entendu évoquer depuis quelques temps les « case studies » ou études de cas (en bon français dans le texte), et, comme je vais vous en reparler dans les prochains mois, il me semble important de faire un peu de lexicologie pour que tout le monde soit au parfum. Oui, je sais, je suis trop bonne ! Ne me remercier surtout pas, je ferais n’importe quoi pour éclairer vos lanternes. SouRIRES !
A présent que j’ai bien détendu vos zygomatiques, passons aux choses sérieuses. D’un point de général, et, si, je me réfère à la définition de Wikepedia, une étude de cas est une étude approfondie sur un cas en particulier, soit-il une personne, un groupe ou un sujet spécifique.
C’est une pratique très courante chez les anglo-saxons dans de nombreux domaines, dans l’hexagone on la retrouve plutôt chez les chirurgiens esthétiques, diététiciens ou décorateurs, la liste étant non exhaustive. Vous l’aurez compris, l’idée est de prendre une personne ou un lieu, de définir un but en immortalisant le point de départ, avec pour objectif d’atteindre le résultat défini au départ. Cette démonstration avant/après est une excellente façon pour les entrepreneurs n’ayant pas pignon sur rue de montrer leur savoir faire.
A vous chers lecteurs de passer sur la sellette. Connaissiez-vous ce terme ? Y’a t-il d’autres domaines d’activité que ceux que j’ai imaginé qui vous semble propice à l’usage de l’avant/après en matière de case studies et étude de cas ?
Construire, déconstruire, reconstruire c’est à la fois le plaisir et l’angoisse de tout entrepreneur. Vous faites travailler mes neurones et ils apprécient. J’entends que vous êtes retournés aux urnes hier ?
J.L