Karine Berger chef des études économiques d’Euler Hermes SFAC est l’une des invités permanentes du Club de l’économie que présente François-Xavier Pietri sur TF1. C’est donc avec une attention toute particulière, que j’ai découvert l’article que lui consacrait le blog de Marc Landre « Les dessous du social » le 11 mars dernier à l’occasion de la sortie d’un ouvrage au titre prometteur « Les trente glorieuses sont devant nous ». Pour tout dire, l’article est plutôt une introduction à l’entretien vidéo que Marc Landré a eu la bonne idée d’y intégrer. J’ai l’avantage d’avoir déjà entendu les thèses que présentent Karine Berger dans cette vidéo, c’est toujours très brève dans un programme télévisé et même là c’est succinct. Cet essai co-écrit avec Valérie Rabault m’intéresse à plusieurs titres, je le vois un peu comme une sorte de suite ou de réponse à celui que Nicolas Baverez a écrit en 2003 La France qui tombe. De l’eau a coulé sur la France depuis huit ans et ce sera intéressant pour moi de comparer les deux ouvrages, parce que le ton des auteurs est peu ou proue le même, sans complaisance. En plus, d’un point de vue personnel, les points que soulèvent Karine Berger font écho dans mon petit cerveau lorsqu’elle évoque l’état stratége et les investissements à moyens et long terme. Tout ceci peut-être dans une certaine mesure, une source d’inspiration pour les entrepreneurs.
Lire l’article et voir la vidéo à ce lien
Comment créer un euro de richesse en France Après quinze années de sinistrose, la question ne se pose même plus. Le pessimisme généralisé tient lieu d’unique réponse : » Le pays est bas been, victime de la mondialisation et des marchés financiers, son modèle complètement dépassé… » Un refrain bien connu. Karine Berger et Valérie Rabault rouvrent le débat. Et prouvent que tout n’est pas joué pour la France. Pour ces deux économistes, le pays peut renouer avec la réussite économique et sociale à condition de faire des choix audacieux. C’est l’histoire de ce livre : le récit, chiffres à l’appui. d’une réussite encore possible.
Je demande à ces deux superbes créatures de m’envoyer une adresse courriel pour que je leur fasse lire mes mémoires sur les « vraies glorieuses » de 1962 à 1975.
Né en 1932,capitaine au longcours, j’ai pu constater les causes réelles de la décadence française et j’en ai fait un livre sur l’économie subie en évitant de l’encombrer par des chiffres incontrôlables.
Les vanités en prennent un coup mais il serait temps de revenir à un peu de modestie et moins de « cocoricos »
François TATARD
C’est une excellente suggestion ma foi. J’ignore où dénicher les courriels de ces dames et comme il y’a peu de chance qu’elles passent sur ce blog lire votre proposition. Pourquoi ne pas leur envoyer un mot via leur éditeur ? Merci de votre visite.
Je ne suis pas assez expert pour dire que les 30 glorieuses ont devant nous… je ne peux que parler pour moi. si je vois le verre à moitié plein je dirais que oui, sinon … ce n’est qu’un verre avec une moitié d’eau. encore une fois, je ne parle que pour mon cas ; mais SOURIRE, je le vois plein !
Gérald Articles récents..Apprendre à coiffer soi-même : Des progrès visibles en quelques mois !
Nous avons le grand avantage cher Gérald de vivre dans une démocratie qui autorise la « vox populi ». Certes il vaut mieux avoir un point de vue argumentée pour l’exprimer à haute et intelligible voix, cependant, rien ne t’empêche d’avoir un avis et de le donner. Ce que tu fais à la manière normande : peut-être bien que oui, peut-être bien que non…. SouRIRES !