Boston workbar (5) : revue du lunch and learn de Stephanie Schechter

grace bailhache revue boston workbarDans le programme bostonien que je vous présentais la semaine dernière dans cet article Boston (4) : webinaire, conférence, festival et plus si affinités figurait le déjeuner de travail lunch and learn proposé par Stephanie Schechter au workbar sur le thème : soyez votre propre directeur de la créativité. Le Workbar est un espace de coworking dans lequel entrepreneurs solos et autres indépendants de tout univers se partagent un espace de travail plus ou moins grand selon leurs besoins. Je me suis intéressée au Workbar de Boston pour me familiariser avec ce type d’organisation, faire des comparaisons avec l’adaptation de ce type de fonctionnement en France mais aussi comme toujours élargir mon champs de connaissance en même temps que mon réseau. Comme j’ai pu m’y rendre, voici en quelques mots et images, mon retour sur événement ou revue pour le dire comme tout le monde.

L’avant lunch and learn

grace bailhache boston workbar lunch learnLa réservation sur le site a été simple, il utilise le logiciel Event brite et tout à été fait en moins de temps pour le dire. J’ai reçu la confirmation de mon inscription et le billet dans un fichier joint en PDF, sachant qu’il fallait l’imprimer pour le montrer à l’entrée.

grace bailhache boston atlantic avenue workbarLe déplacement : le Workbar est bien situé carrément en plein de Boston, en sortant de South Station on y est à moins de 5 minutes de marche quand on a repéré l’Atlantic avenue c’est tout droit.  Impossible de se tromper.

grace bailhache boston workbar Une fois parvenue au numéro 711 j’ai eu comme un moment de flottement, heu…pas la moindre indication de Workbar en grand sur le haut, au milieu de la porte comme je pouvais m’y attendre, il faut pénétrer dans l’immeuble pour comprendre qu’en réalité, il loue un espace dans cet immeuble d’affaire très très éclectique.

grace bailhache boston workbar coworkingUne fois dans le hall, ouf j’ai pu voir cet indicateur ainsi que le large sourire d’un concierge comme ceux que l’on voit dans les séries américaines, avec une tenue impeccable et un sourire engageant accompagné d’un « how can I help you » (comment puis je vous aider) de rigueur. Une fois passé ce stade, et après avoir descendu des marches, puis traversé un long couloir (claustro s’abstenir) me voici dans un autre monde. C’est l’heure du déjeuner donc çà bouillonne ici et là, certains entrepreneurs échangent entre eux, d’autres déjeunent sur le pouce en pianotant distraitement sur leur ordinateur, d’autres encore font des jeux dans la partie bar. C’est à la fois très espacé et très rempli. Je n’ai pu m’empêcher de faire « le tour du propriétaire » avant d’atteindre un coin de l’accueil ou des jeunes filles se partagent le bureau de renseignements. J’y suis enfin. La salle de conférence est juste en face et  Stephanie Schechter va bientôt commencer à partager le Saint Graal de la créativité à une petite dizaine d’entrepreneurs.

stephanie schechter revue boston workbarVoici la « conférencière Stephanie Schechter consultante en stratégie de l’image et du design, vous pouvez voir son site Stephanie website ou consulter son fil twitter  @SchechterDesign

Voici la revue  :

L’heure : de 12h00 à 13h30 = parfait pour moi, j’avais un rendez-vous à 9h30 du côté de Sommerville avant, il s’est terminé à 11h30 au lieu de 11h15, je suis arrivée vraiment ric-rac à l’heure. Mais bon, c’est juste la bonne heure pour ce type de lieu et de profils qui peuvent profiter de ce créneau pour apprendre en déjeunant d’où la formule lunch and learn.

Le prix : on va arrondir à 12 dollars parce que c’est 10 plus les frais récupérés par event brite. Bon rapport qualité/prix étudié par l’espace « coworking » pour offrir le meilleur aux coworkers. Pour le coup, comme c’est ouvert aux non adhérents, c’est tout benefice pour eux, puisqu’ils attirent de nouveaux profils susceptibles de devenir de futurs adhérents.

La promesse : Un plan pour devenir son propre directeur de la créativité ou comment élaborer une identité visuelle pour sa marque.

Ce qu’on a reçu : Les éléments suivants ont été traités comme prévu : comment définir la qualité principale de sa marque, comment décrire les utilisateurs de sa marque avec les différentes étapes pour créer son identité visuelle, quelques astuces pour créer des logos et autres matériaux de façon professionnelle, comment établir les priorités en terme d’initiative , quand investir dans le design et quand vous pouvez l’éviter et enfin quelques exemples et exercices pratiques.

Ce que j’ai trouvé top :  D’avoir reçu en sus un document détaillé rédigé par la conférencière à notre attention.

Ce qui m’a paru bof : finalement la formule déjeuner tel que pratiqué plateau sandwich à l’américaine ne m’a pas convaincu. Avec un programme si complet et intéressant, c’est limite de se bâfrer en face de personnes qui prennent des notes ou d’en prendre soi-même.  Dans l’idéal, il vaudrait mieux le faire un peu avant ou un peu après et que çà soit compris dans le temps.

En conclusion j’ai été conquise par le professionnalisme made in Boston, on ne lésine pas sur le « bien-faire » et çà ce n’est vraiment pas une légende comme je pouvais le croire. Certes, cet atelier/séminaire/conférence s’adressait davantage aux futurs créateurs, si j’avais pu la suivre avant de me lancer j’aurais gagné 8 mois.  Après la séance, j’ai eu la chance d’échanger un peu plus longuement avec Stephanie Schechter qui m’a donné une astuce et un lien qui va m’aider à régler une question qui me posait problème. Je vais garder le contact et la suivre sur Twitter notamment, pour pouvoir assister aux « webinaires » (séminaires en ligne) qu’elle envisage de créer prochainement.

C’est un peu long, mais je vous remercie, chers lecteurs, visiteurs, de m’avoir vivement encouragée à faire ces revues de mes activités, j’espère qu’elles vous seront utiles.

Vos avis et suggestions sont toujours appréciés, alors laissez vos commentaires.

5 commentaires sur “Boston workbar (5) : revue du lunch and learn de Stephanie Schechter

  1. Super Grace, en principe je n’aime pas les textes trop longs sur internet, c’est souvent difficile d’aller au bout. Là tu m’as pris par la main et je t’ai suivi jusqu’au bout, j’avais l’impression d’être avec toi et en plus pour une fois, tu as mis une photo de toi aussi, même si on ne te voit pas vraiment très bien, mais j’ai adoré. On dirait que tu as aimé aussi, j’espère que tu ne vas pas nous quitter pour aller chez les amerloques on a besoin de toi ici. Stephanie Schechter çà fait très allemand comme nom, elle a l’air très jeune, tu nous raconteras la suite ?

    A tout bientôt, je continue y’a tellement de nouveaux articles à lire je suis heureuse.

    1. Quel enthousiasme, çà fait chaud au cœur. C’est vrai que j’avais beaucoup de retard à rattraper, des articles en attente d’être posté, c’est un peu lourd.

      Alors pour te répondre

      – la photo est une capture d’images filmées, difficile d’avoir des plans clairs.

      – je n’ai pas de projets d’expatriation aux USA mais il ne faut jamais dire fontaine !!!!

      – je n’ai aucune idée, ni de son âge, ni de ses origines, mais je lui poserais la question, je n’ai pas encore repris contact, il fallait que je termine par ici.

      Bonne lecture et prend ton temps surtout.

    1. A vrai dire, c’était un mélange des deux, je pensais t’avoir mis d’autres liens vers le voyage, mais bon je le ferais prochainement sur tes futurs articles, comme çà tu verras que je n’ai pas fais que du networking.

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